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Mine de rien, la bouderie est une petite maladie du caractère qui se soigne très bien. Moins on boude mieux on vit...

Explique ce qu'est le caca, évoque les dits et les non-dits sur ce sujet un peu tabou et permet aussi, avec humour, de laisser la liberté aux enfants de passer par leur phase caca-boudin et caca-prout.

Avoir des frères et soeurs, c'est bien mais ça n'empêche pas de se disputer, d'être jaloux et de trouver qu'on aimerait parfois être le seul enfant de ses parents. Mais c'est agréable aussi de partager ses soucis avec sa grande soeur ou son grand frère. Souvent ils nous aident et nous consolent.

Beaucoup de choses font peur : ne pas faire ou être comme les autres, les cauchemars, la nuit, certaines images ou films, être seul, ne plus être aimé. En général, il suffit d'en parler à une grande personne pour comprendre pourquoi on a peur et alors, souvent, la peur s'en va.

Difficile de grandir sans se faire de mal. Apprendre à soigner ses blessures, tout seul ou avec les grandes personnes, c'est devenir prudent et habile

Mine de rien la vie est un cadeau que l'on peut partager sans en perdre une miette.

Explique les colères, que les grandes personnes appellent des caprices et les petits pensent que ce n'est pas toujours juste.

Pour comprendre ce qui lie les jumeaux et comment ils parviennent à se faire leur place l'un par rapport à l'autre.

Regarder vivre sa mère permet aux enfants de comprendre l'identité de l'homme et celle la femme.

Mine de rien c'est si bon la tendresse d'un papa.

Mine de rien , quand on comprend pourquoi on obéit ou on désobéit, c'est mieux.

Quand on est petit, il faut bien faire attention à son corps et personne n'a le droit de le toucher, mais les câlins des personnes que l'on aime et que l'on respecte sont toujours les bienvenus.

Quand un bébé arrive dans la maison, le grand frère s'en occupe, aide sa maman,et découvre que maintenant c'est lui le grand.

Petit Tang a du mal à dormir, il part à la recherche de rêves. En suivant la grande muraille de Chine, des gardes royaux lui donneront des pistes, des ancrages au rêve. Mais pour rentrer chez lui, il lui faut demander au roi. Il a disparu et quand, enfin, il est retrouvé, ce dernier lui demande d’aller au sud pour trouver le pêcheur qui l’emmènera jusqu’au dragon de l’est. Au fil des pages, la Chine s’offre à nous, par son paysage (rizières, jardins de thé, élevages de bombyx à soie), par ses traditions explicitées par les idéogrammes (le ciel est rond pour les chinois comme leur ombrelle, la terre est carrée comme leurs chaussures).